Georges Nemtchenko naît en France de père russe en 1945. Des études classiques l’amènent, sur les bancs de l’Université, à se former à la psychologie et à la philosophie sous la férule de grands noms : Henri Maldiney, Gilles Deleuze.

Il fait un grand détour de 30 années dans l'image (télé, cinéma et photographie). Puis, pris de nostalgie, quelques vies, enfants et petits-enfants plus tard, il retourne sur les bancs de la Fac pour redécouvrir les avancées de la psychopathologie et, après un DEA, poursuivre une thèse d’État ayant pour objet la colère inexpliquée de l’enfant et les violences intrafamiliales. Sa pensée et ses recherches prennent racines chez Freud, Winnicott, Lacan, Laplanche ou Alice Miller.

Il exerce la profession de psychothérapeute analytique près de Lyon depuis 18 ans et intervient régulièrement et bénévolement sur divers forums.

Il condense son expérience de thérapeute dans un premier ouvrage, paru en 2011 chez Robert Laffont : "Fillettes abusées femmes en souffrance" dont le titre parle de lui-même et qui aborde la question terriblement taboue des abus sur fillettes par des proches voire des parents ; l’effet catastrophique de ces violences apparaissant souvent des dizaines d’années plus tard.

Il publie fin 2014 son deuxième livre, sur la violence invisible et inconsciente que nous infligeons, tous, à nos enfants ; dit autrement : "Des enfants? Pour quoi faire !" Editions EME

Un troisième livre est publié en 2017 : "Mère-Fille: l'impossible amour" éd. Le Faucon d’or. Il s’agit d’un livre de témoignages qui a la particularité d'avoir été co-écrit par quatre femmes, anciennes patientes et accompagné des commentaires du psy.

En janvier 2019, La Boite à Pandore publie son 4ème ouvrage : "Que dire -ou pas- de la sexualité à mes enfants", préface de Brigitte Lahaie. Puis La Boîte à Pandore publie en septembre son 5ème titre, sur le thème de la séduction et du regard du père : "Ce foutu besoin de plaire... et ce père qui ne m'a jamais regardée".